En début d’année, la revue Québec Science a publié son palmarès des 10 découvertes de l’année 2014. Voici comment une étudiante doctorale a pu devenir directrice d’une équipe de recherche internationale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marie-Ève Naud est étudiante en astrophysique à l’université de Montréal sous la direction de René Doyon. Ayant effectué la majorité du travail pour cette découverte, elle mérite tout à fait les honneurs qui lui sont attribués. C’est ainsi que son nom se retrouve à la tête de l’article. Notons qu’en physique des particules, les collaborations de recherche sont tellement grandes que les auteurs sont inscrits en ordre alphabétiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maintenant voyons comment l’Université perçoit la découverte. À mon grand étonnement, Marie-Ève Naud est devenue directrice de l’équipe de recherche. Cela démontre l’absence l’incompréhension et le mauvais travail effectué par les rédacteurs du communiqué.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au moins, l’Université de Montréal est cohérente dans ses erreurs.